ADN-FOCUS,S3,N°9 avec Elhadj Fall porte-parole de Biram Dah Abeid en Europe

Elhadj Fall, porte-parole du leader abolitionniste Biram Dab Abeil décrypte les 100 jours du nouveau président Mohamed Cheikh El-Ghazouani

Ses premières déclarations semblent installer une rupture avec son prédécesseur. Élu au premier tour de la présidentielle du 22 juin dernier en Mauritanie, Mohamed Cheikh El-Ghazouani (plus connu sous le nom de Mohamed Ould Ghazanoui) a officiellement pris fonction le 1er Août dernier. Ce bras droit de l’ancien chef de l’état Mohamed Ould Abdel Aziz, qui l’avait désigné comme son dauphin, dit vouloir incarner le changement. Dans un discours tenu à Dakar au Sénégal le 18 novembre dernier, le tout nouveau chef de l’Etat s’est prononcé entre autres sur la ruine du système éducatif, la mauvaise gouvernance, la désertification et la démographie ; des sujets jusqu’ici quasi tabous. Ses 100 premiers jours ont notamment été marqués par l’ouverture des médias publics à l’opposition, la libération des prisonniers arrêtés lors des manifestations post-électorales et l’autorisation d’inscription pour les étudiants qui n’ont avaient pas le droit. Autre acte non moins négligeable, la réception au palais présidentiel de ses opposants, même les plus farouches.

Changement radical de politique ou simple stratégie de communication ? Dans votre émission Focus, Elhadj Fall le porte-parole de Biram Dah Abeid, arrivé deuxième à la dernière présidentielle, décrypte les 100 premiers jours du chef de l’État Mauritanien.

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ADN-FOCUS, N°8

Christian Kamtchueng aurait aimé passer inaperçu, mais la nature en a décidé autrement. Athlétique, le verbe facile, on l’aurait cru facilement athlète ou comédien. Il n’en est rien. Christian Kamtchueng est mathématicien-financier et écrivain : il a fréquenté deux des plus grandes places financières européennes et a trouvé le temps de publier deux romans sur les errances du cœur de l’homme. Un profil atypique ? Né en 1983 à Longjumeau, Essonne, ce français originaire du Cameroun a grandi à Brétigny-Sur-Orge. Après un bac scientifique au lycée René Cassin d’Arpajon, Christian Kamtchueng poursuit de brillantes études en mathématiques et informatique à l’université Paris VII Denis Diderot. Inutile de préciser qu’il a obtenu les meilleurs mentions chaque année. Disons-le tout de même : il termine son deuxième cycle universitaire major de sa promotion, avant de s’orienter en Finance via le DEA Probabilité et Finance de l’université Pierre et Marie Curie, sous la direction du professeur Gilles Pagès. Spécialiste en analyse quantitative, il est débauché à la City, sacro-saint de la finance outre-Manche, par la Dresdner Kleinwort, après avoir fait ses armes deux ans durant à la Société Générale, à Paris. Reconnu à Londres pour ses compétences dans la finance de marché, ‘ce jeune de banlieue’ est aujourd’hui en passe d’obtenir une double récompense.

Auteur d’articles novateurs, dont le dernier :
« American Option and Default Perception, ‘Un Vaut Mieux Que Deux Tu l’Auras’ » pourrait l’amener au titre d’ « Analyste Quantitatif de l’année» (Quant of the Year), il ne cache pas son ambition de refonder la théorie de pricing en finance et vient de publier son deuxième ouvrage en Finance Quantitative « Introduction To The Fear Pricing Theory »
. Reconnaissance ou pas, il n’a plus rien à prouver, ou presque. Il est aujourd’hui l’un des plus jeunes professeurs à dispenser des cours en Master Finance dans la prestigieuse école de commerce qu’est l’ESSEC. Rien ne semble pouvoir arrêter Christian Kamtchueng. Interviewé par le journal. L’Express, il expliquait en quoi les sirènes de la capitale britannique ont été plus retentissantes que celles de Paris… sa parole compte. Christian impressionne par sa détermination et le développement de la ‘No Limit Attitude’. Invité dans des conférences il épate par sons sens pratique de la finance et ses visions avant- gardistes, il est l’homme derrière la notion de FVA netting arbitrage and CVA netting arbitrage. En 2010, il crée l’entreprise de CTK Corp (lire City Key : les clés de la City), conseil en analyse quantitative, avec un service d’accompagnement dans le recrutement et le développement de progiciels. Des mathématiques à la littérature, il déchiffre les lettres…

Christian Kamtchueng publie son premier roman ‘Les errances affectives : La fin d’un Don Juan’ aux éditions Bénévent alors qu’il n’a que 25 ans. Un livre narrant de manière décomplexée, avec toujours le mot juste et humour, la perdition d’un homme dans ses relations passées. Christian Kamtchueng, l’auteur, à travers ses conquêtes tente de mettre en exergue les décisions qui influent sur le présent et le futur. Nombreux sont les hommes qui se reconnaîtront dans ces écrits et nombreuses sont les femmes qui les décortiqueront pour essayer de comprendre le comportement de la gente masculine. Fort du succès de son premier ouvrage, il signe trois ans plus tard, la suite ‘Les errances affectives : L’âme sœur’, chez CTK edition. Invité à différentes rencontres littéraires à Paris, Londres et Bruxelles, c’est avec humilité que celui qui n’a pas encore fêté ses trente printemps remplit les pages de sa vie. Il a publié ‘Les Vœux de Monsieur Dockins’ un nouveau registre littéraire proche du fantastique qui n’est pas sans nous rappeler Dickens. Il coécrit un roman vérité sur les réalités d’un quartier de banlieue parisien ; ‘Les Chroniques d’un Ghetto Français, l’Origine’. Il relate les réalités d’un quartier dit « sensible » de la banlieue parisienne.
Il a décidé de s’investir dans l’aide à la jeunesse via des séminaires et la création de MathSup.net. Il veut partager son parcours mais surtout informer les jeunes sur les moyens d’atteindre leurs objectifs. Christian Kamtchueng est aussi dessinateur et peintre.
A 32 ans, il décide de rentrer en France pour partager son expérience mais aussi impacter notre vie sociétale qu’il estime en désastreuse. Il a terminé deux ouvrages dont le Manifeste de la Raison Objective. Il vient de se lancer dans la finance alternative et s’apprête à révolutionner nôtre système sociétal via deux startups Afrisia et WeRepo. Mais ça, c’est une autre aventure…

Focus, 7° numéro

Votre émission Focus vous amène ce mois au pays des hommes intègres, le Burkina Faso de Thomas SANKARA, à la rencontre d’Alfred Bewindin SAWADOGO.  Jeune leader burkinabè dont l’engagement ne peut laisser indifférent, Alfred est un Ingénieur d’Etat en télécommunications et leader au sein mouvement international MROD/BF (Mouvement de Réflexion sur les Opportunités de Développement du Burkina Faso).  Son principal cheval de bataille est  la formation et l’autonomisation de la jeunesse africaine. Désirant rassembler les jeunes burkinabè des quatre coins du monde autour du développement du Burkina, il a lancé, avec Moubarak ZOURE le MROD/BF en Mars 2016. En tant qu’orateur, il a animé des conférences et formations au Burkina, en Algérie, en France, abordant des questions diverses : bonne gouvernance, leadership, entrepreneuriat, art oratoire…  Il est aussi auteur d’articles traitant des questions relatives aux TIC (Technologies de l’Information et de la Communication).

Le MROD/BF : Mouvement de Réflexion sur les Opportunités de Développement du Burkina Faso, est un mouvement international et apolitique de jeunes burkinabè ayant la vision de construire une jeunesse responsable, citoyenne et actrice du développement. Le mouvement compte aujourd’hui plus de 300 membres répartis dans plusieurs pays : Burkina, Sénégal, France, USA,… Ayant compris que le rôle de la jeunesse dans le développement d’un pays est déterminant, le MROD/BF se veut une tribune de réflexion, d’expression et de formation pour cette jeunesse. L’entrepreneuriat, le leadership et les questions de développement sont les principaux axes du mouvement ; A ce jour, le MROD/BF a formé plus de 350 personnes en leadership et en entrepreneuriat ; Aussi, dans le volet question de développement, depuis le lancement en Mars 2016, des thèmes éminemment importants tels que la fuite des cerveaux, le rôle des jeunes dans le développement de l’Afrique, la bonne gouvernance au Burkina, le rôle des femmes dans le développement, l’héritage de Thomas SANKARA à la jeunesse africaine constituent le cheval de bataille depuis le lancement du mouvement en Mars 2016. Des idées et propositions sont disponibles dans des articles que les membres du mouvement publient régulièrement dans la presse.

fOCUS,N°6

THIAM Moustapha, « un sénégalais qui pense africain », fondateur et président du MSDA est l’invité du FOCUS.

Le Mouvement Solidaire pour le Développement de l’Afrique, est une association  créée par des jeunes ayant pour objectif  de sensibiliser les jeunes africains d’ici et d’ailleurs aux problématiques de l’entrepreneuriat social et solidaire comme levier de développement économique et social.

 

 

 

Aujourd’hui, le mouvement compte des centaines d’adhérents et est représenté dans une quinzaine de pays africains et parmi les diasporas africaines. Les membres qui le composent (jeunes entrepreneurs, acteurs économiques et politiques, etc.) entendent apporter leur pierre à l’édifice pour l’émergence et la réussite économique et sociale de l’Afrique par le biais de l’entrepreneuriat social et l’insertion professionnelle des jeunes. « Entreprendre Solidairement, Agir localement » est le credo de ce mouvement qui se veut panafricain.

Une silhouette, des idées, une ambition. Gaissiré Dia CEO de «Waalam »

Une silhouette, des idées, une ambition. Gaissiré Dia CEO de «Waalam » est un modèle d’une jeunesse africaine en marche. Après des brillantes études en France, et une première expérience professionnelle dans le marché financier à Londres, elle ouvre un cabinet de trading et lance Waalam, une plateforme de financement participatif (Conseil en investissement) qui promeut l’émergence africaine à travers la création des startups. Voici l’une des nouvelles figures diasporiques de l’excellence africaine.

Focus sur Bakary Diallo, écrivain en langue peulh

Cette fois votre émission Focus  braque sa caméra sur celle qui a mis la lumière sur l’un des premiers écrivains  en langue Peulh, Bakary Diallo.
Chargée de cours à l’INALCO, Mélanie Bourlet, qui enseigne le Peulh a fait le pari de faire connaître à un large public cet écrivain autodidacte, qui écrivait aussi bien en Peulh qu’en français. La subtilité de son écriture et la profondeur de ses textes faisait de Bakary Diallo -« Le premier écrivain sénégalais » et « le plus grand poète peulh » comme le disait le président pote L.S Senghor.

Entretien exclusif avec Biram Dah Abeid, président de l’IRA

ADN-FOCUS vous propose un entretien exclusif avec Biram Dah Abeid, président de l’IRA (l’Initiative pour la Résurgence du Mouvement Abolitionniste en Mauritanie) en tournée européenne. Il revient sur le combat contre l’esclavage qui est le sien, sur la détention arbitraire de 13 militants, membres du Bureau exécutif d’Ira et les raisons de sa tournée européenne…

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